2 heures à écrire des tonnes de choses pas gaies, et voila que, par mégarde, à deux reprise, je tapai sur la touche : SUPP.... Dur, pour une fois ou je règlais leur compte à ces poèmes de merde, ces vies sans couleur ces courses au cancer le plus douloureux, ces misères les plus insupportables, ces morts d'enfants qu'on traine à l'échaffaud, et ces vieillards que l'on piétinent, ces femmes aux seins qui tombent et que persobnnene ramasse, ces mecs au teint vitreux, de boissons pas trop fraiches et de tabac trop brun, et ces couples contents de jeter sur la toile leurs lambeaux de pâle oripeaux culturoplasticomusicopasrigoloetaussideuxtroisfoto.<br />
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Trop beau, pourvu que ça dure...<br />
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Et quand je pense à ses enfances qui meurent en se glissant dans la peau d'adulteries (!) sans mémoire et sans folie...